Il n’y a qu’une seule règle de base : ne jamais adopter une seule poule.
Animal grégaire, les poules n’aiment pas rester seules. Leur truc à elles, c’est la vie en groupe ! Si vous avez très peu d’espace, assurez-vous d’en avoir assez pour accueillir deux cocottes. Notez aussi que pour produire ses bons œufs, une poule doit non seulement être en bonne santé mais également se sentir en sécurité !
Pour cela, la présence de ses congénères est essentielle.
Une fois que vous êtes fixé sur le nombre de poules, il reste une grande question : peut-on faire cohabiter des poules de races différentes ?
Mixité, féminisme & liberté sexuelle : nous n’avons rien inventé !
Dites-vous que si les libertés ont été acquises à force de lutte chez les humains, il n’en est rien chez nos amies les poules. La liberté est dans leur ADN ! Imaginez donc la souffrance endurée par ces innombrables volailles élevées en cage…
Toutes les races se mélangent sans aucun problème tant que leur besoin d’espace est respecté. Une limite à cela néanmoins : il est déconseillé de mélanger les grandes races avec les naines.
Certes celui-ci joue toujours le rôle de reproducteur et de médiateur des conflits dans la basse-cour, mais il est étonnant de voir à quel point ces dames sont indépendantes.
De la quête de nourriture à l’éducation des poussins en passant par la ponte et la couvaison, le coq se cantonne souvent au rôle de figurant. Beau comme il est, il doit quand même susciter les convoitises et faire battre les petits cœurs, me direz-vous. Si peu ! Trop attachée à sa liberté, madame le laisse draguer à tout va !
Le coq : grande gueule ou maillon essentiel ?
En ville, le coq n’a pas que des amis !
Le coq est un peu comme le bellâtre dans une salle de fitness. Il se pavane et passe le plus clair de son temps à tester son pouvoir de séduction. La seule exigence de monsieur : des poules, toujours plus de poules !
Le coq est plutôt du genre à enchaîner les conquêtes…
Si vous souhaitez l’accueillir dans votre poulailler, ne le mettez pas seul avec une poule, ses ardeurs l’épuiseraient rapidement. Car autre détail : monsieur n’attend pas l’approbation de madame pour laisser libre cours à ses pulsions. D’ailleurs, on dit que le coq « coche » la poule, ce qui vous donne une indication sur la qualité des ébats. Il faut dire qu’avec cet appétit insatiable, notre séducteur n’a pas le temps de faire dans la romance. Jugez plutôt : il ne lui faut pas moins de trois poules au minimum en permanence, dix idéalement, voire vingt sans problème !
Mais limiter le rôle du coq à la fécondation serait réducteur. Il joue également le rôle du médiateur dans le poulailler. Tandis qu’en son absence une subtile hiérarchie s’installe, avec à sa tête une poule dominante pas toujours tendre avec ses consœurs, avec lui personne ne moufte, c’est le calme assuré dans la basse-cour ! Tous les éleveurs vous le diront : un coq fait régner l’ordre. Et puis il rassure les poules, qui restent quoi qu’on en dise de grandes froussardes !
Le coq en ville… à proscrire ?
Les poules en ville sont à la mode. Mais cela peut engendrer quelques désagréments pour les voisins, notamment lorsque les cocottes sont accompagnées d’un coq. Légalement, en ville, le chant du coq ou le bruit de caquètement des poules ne doit pas être une source de dérangement pour votre voisinage. Donc avant de vous lancer dans l’aventure allez en discuter avec vos voisins.
S’ils sont contre l’idée, vous vous consolerez en apprenant que l’absence de coq n’influence nullement la ponte chez les poules !
S’ils ne sont pas fermés à l’idée ou si votre environnement autorise l’adoption d’un coq, sachez que si tous les coqs chantent, certaines races sont réputées pour être moins bruyantes. C’est le cas des races naines, telles que le Bantam de Pékin mais aussi chez les races, telle que lees Brahma et les Orpington qui sont aussi réputés calme.
À l’inverse, des coqs au tempérament comme le Gaulois ou le Marans donnent de la voix ! Avec eux aucun doute, c’est l’ambiance garantie.
Une chose est certaine : la taille de la bête n’est pas un indicateur du niveau sonore.
Certains coqs nains comme l’Ardennais peuvent être très expressifs… Et leur timbre haut perché ne sera pas forcément du goût des voisins !
Également sachez que pour pouvoir faire la grâce matinée / pour ne pas être réveillés par le bruit du coq à l’aube, il faut prendre quelques dispositions.
La nuit, en le placant dans une pièce noir ou dans un local vraiment sans jour, comme un garage, il retardera son chant. Également, en éloignant des autres animaux, sources de stimuli pour lui, il sera moins bruyant.
Si vous voulez offrir une aventure à vos poules et voir éclore vos œufs (en les plaçant dans un incubateur ou sous une poule disposée à couver), un bon compromis consiste à accueillir un coq pendant quelques jours, idéalement deux semaines. Vous lui laisserez ainsi le temps de « cocher » toutes les poules et dix jours après son départ, les œufs pourront encore être mis en incubation.
Reste à trouver un éleveur / ou un passionné disposé à vous faire un prêt !
Autrement, achetez des oeufs fécondés. Qui dit œufs fécondés, dit normalement œufs fertiles, c’est-à-dire aptes à donner des poussins. Vous trouverez facielment les éleveurs de votre région qui en propose. Il suffit de regardant sur internet, comme sur Leboncoin, ou dans votre journal local. Toutefois, nous vous recommandons d’acheter des œufs fécondés auprès d’un éleveur jouissant d’une bonne réputation.
Il n’y a qu’une seule règle de base : ne jamais adopter une seule poule.
Animal grégaire, les poules n’aiment pas rester seules. Leur truc à elles, c’est la vie en groupe ! Si vous avez très peu d’espace, assurez-vous d’en avoir assez pour accueillir deux cocottes. Notez aussi que pour produire ses bons œufs, une poule doit non seulement être en bonne santé mais également se sentir en sécurité !
Pour cela, la présence de ses congénères est essentielle.
Une fois que vous êtes fixé sur le nombre de poules, il reste une grande question : peut-on faire cohabiter des poules de races différentes ?
Mixité, féminisme & liberté sexuelle : nous n’avons rien inventé !
Dites-vous que si les libertés ont été acquises à force de lutte chez les humains, il n’en est rien chez nos amies les poules. La liberté est dans leur ADN ! Imaginez donc la souffrance endurée par ces innombrables volailles élevées en cage…
Toutes les races se mélangent sans aucun problème tant que leur besoin d’espace est respecté. Une limite à cela néanmoins : il est déconseillé de mélanger les grandes races avec les naines.
Certes celui-ci joue toujours le rôle de reproducteur et de médiateur des conflits dans la basse-cour, mais il est étonnant de voir à quel point ces dames sont indépendantes.
De la quête de nourriture à l’éducation des poussins en passant par la ponte et la couvaison, le coq se cantonne souvent au rôle de figurant. Beau comme il est, il doit quand même susciter les convoitises et faire battre les petits cœurs, me direz-vous. Si peu ! Trop attachée à sa liberté, madame le laisse draguer à tout va !
Le coq : grande gueule ou maillon essentiel ?
En ville, le coq n’a pas que des amis !
Le coq est un peu comme le bellâtre dans une salle de fitness. Il se pavane et passe le plus clair de son temps à tester son pouvoir de séduction. La seule exigence de monsieur : des poules, toujours plus de poules !
Le coq est plutôt du genre à enchaîner les conquêtes…
Si vous souhaitez l’accueillir dans votre poulailler, ne le mettez pas seul avec une poule, ses ardeurs l’épuiseraient rapidement. Car autre détail : monsieur n’attend pas l’approbation de madame pour laisser libre cours à ses pulsions. D’ailleurs, on dit que le coq « coche » la poule, ce qui vous donne une indication sur la qualité des ébats. Il faut dire qu’avec cet appétit insatiable, notre séducteur n’a pas le temps de faire dans la romance. Jugez plutôt : il ne lui faut pas moins de trois poules au minimum en permanence, dix idéalement, voire vingt sans problème !
Mais limiter le rôle du coq à la fécondation serait réducteur. Il joue également le rôle du médiateur dans le poulailler. Tandis qu’en son absence une subtile hiérarchie s’installe, avec à sa tête une poule dominante pas toujours tendre avec ses consœurs, avec lui personne ne moufte, c’est le calme assuré dans la basse-cour ! Tous les éleveurs vous le diront : un coq fait régner l’ordre. Et puis il rassure les poules, qui restent quoi qu’on en dise de grandes froussardes !
Le coq en ville… à proscrire ?
Les poules en ville sont à la mode. Mais cela peut engendrer quelques désagréments pour les voisins, notamment lorsque les cocottes sont accompagnées d’un coq. Légalement, en ville, le chant du coq ou le bruit de caquètement des poules ne doit pas être une source de dérangement pour votre voisinage. Donc avant de vous lancer dans l’aventure allez en discuter avec vos voisins.
S’ils sont contre l’idée, vous vous consolerez en apprenant que l’absence de coq n’influence nullement la ponte chez les poules !
S’ils ne sont pas fermés à l’idée ou si votre environnement autorise l’adoption d’un coq, sachez que si tous les coqs chantent, certaines races sont réputées pour être moins bruyantes. C’est le cas des races naines, telles que le Bantam de Pékin mais aussi chez les races, telle que lees Brahma et les Orpington qui sont aussi réputés calme.
À l’inverse, des coqs au tempérament comme le Gaulois ou le Marans donnent de la voix ! Avec eux aucun doute, c’est l’ambiance garantie.
Une chose est certaine : la taille de la bête n’est pas un indicateur du niveau sonore.
Certains coqs nains comme l’Ardennais peuvent être très expressifs… Et leur timbre haut perché ne sera pas forcément du goût des voisins !
Également sachez que pour pouvoir faire la grâce matinée / pour ne pas être réveillés par le bruit du coq à l’aube, il faut prendre quelques dispositions.
La nuit, en le placant dans une pièce noir ou dans un local vraiment sans jour, comme un garage, il retardera son chant. Également, en éloignant des autres animaux, sources de stimuli pour lui, il sera moins bruyant.
Si vous voulez offrir une aventure à vos poules et voir éclore vos œufs (en les plaçant dans un incubateur ou sous une poule disposée à couver), un bon compromis consiste à accueillir un coq pendant quelques jours, idéalement deux semaines. Vous lui laisserez ainsi le temps de « cocher » toutes les poules et dix jours après son départ, les œufs pourront encore être mis en incubation.
Reste à trouver un éleveur / ou un passionné disposé à vous faire un prêt !
Autrement, achetez des oeufs fécondés. Qui dit œufs fécondés, dit normalement œufs fertiles, c’est-à-dire aptes à donner des poussins. Vous trouverez facielment les éleveurs de votre région qui en propose. Il suffit de regardant sur internet, comme sur Leboncoin, ou dans votre journal local. Toutefois, nous vous recommandons d’acheter des œufs fécondés auprès d’un éleveur jouissant d’une bonne réputation.
Marie Chatard
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